L'espérance et le doute - Guy de Maupassant lu par Yvon Jean - YouTube
L'espérance et le doute a paru dans les Annales politiques et littéraires du 12 décembre 1897. Les vœux a paru dans Le Figaro vers 1923. Le sommeil du mandarin a paru dans les Annales politiques et littéraires du 12 décembre 1897. Voici mon compliment a paru dans Le Figaro du 14 septembre 1929. A mon ami Louis Le Poittevin sur son mariage a paru dans la Revue de l'Amérique latine du 1er avril 1924. Sous une gueule de chien est un impromptu, signé et daté: Chatou, 2 juillet 1885. Il a paru dans Le Gaulois du 12 juillet 1885. A une dame en lui envoyant un bout de la corde d'un pendu a paru dans Le Figaro du 18 novembre 1931 puis dans la revue La Muse française du 10 décembre suivant. Sonnet s'intitulait Sonnet à Madame XXX dans la publication qu'en firent les Annales politiques et littéraires du 3 novembre 1901. Sabbat a paru dans Le Gaulois du dimanche du 23-24 octobre 1897 sous la signature de G. de V. soit Guy de Valmont. Le moulin a paru dans Le Gaulois du dimanche du 23-24 octobre 1897 sous la signature de G. Enfant, pourquoi pleurer?
Le doute en question est donc, je le répète, un doute actif: on se donne les moyens de pousser plus loin l'enquête pour y voir plus clair. Le discours de l'expert qui assène son point de vue est aux antipodes de ce doute. Et, de fait, beaucoup de médecins ont pris la parole en ignorant le doute qui pesait, au moins provisoirement, sur leurs affirmations. La science, il faut le dire, et pas seulement la médecine, découvre régulièrement des points aveugles dans ses raisonnements et le doute est un de ses moteurs les plus puissants. Cette attitude d'ensemble repose sur une confiance dans les règles partagées par une communauté de chercheurs et sur l'hypothèse que, collectivement, on améliore progressivement notre compréhension des phénomènes étudiés. Le soupçon: une attitude de défiance systématique Le soupçon, à l'inverse, relève d'une défiance systématique. On suppose, a priori, que quelqu'un qui n'est pas de même milieu que soi, ment, fait erreur, ou présente les choses de manière incomplète et tendancieuse.
Sur la route montante. Traînée, pendue aux bras de ses deux grandes sœurs, Qui la tiennent par la main, La petite espérance S'avance. Et au milieu entre ses deux grandes sœurs elle a l'air de se laisser traîner Comme une enfant qui n'aurait pas la force de marcher. Et qu'on traînerait sur cette route malgré elle. Et en réalité c'est elle qui fait marcher les deux autres. Et qui les traîne. Et qui fait marcher tout le monde. Et qui le traîne. Car on ne travaille jamais que pour les enfants. Et les deux grandes ne marchent que pour la petite. » Lire aussi: Le vrai bonheur n'a pas besoin de se cacher